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Toutes nos armes devrais avoir une histoire. Je vais vous conter celle de Sözé.
Ainsi commence l’histoire de ’’Sözé’’ le cadet de dame « Ington ». (avril 1820, décembre 1862, favorablement connue dans divers saloon d’Ilion New York).

Une brève aventure avec un certain « Rem » donna naissance dans les douleurs à un chétif Rem-Ington en l’an 1861.
Dame « Ington » ne se remis jamais de son accouchement et mourut une froide nuit d’hiver 1862, laissant accroché à son sein vide le petit Sözé ... pris d’affection par un certain docteur « Fordyce Beals » qui avait déjà un fils dénommé         « Walking Beam », affublée d’un petit calibre (31), Sözé ne dépassa jamais le cal.36 et la taille de son canon stagna à 3 pouces. 

Le petit Sözé fut donc provisoirement placé dans la famille de Samuel Colt dont l’aîné de ses fils, un certain Walker né en 1847 lui appris les rudiments de sa fonction, mais l’élève dépassa et même surpassa grandement son mentor. 

La guerre de Sécession entraîna malgré-lui, Sözé au coté de Robert E.Lee qui grâce à lui, remporta beaucoup de bataille, mais son choix se tourna vers le Colonel Philippe de Marigny de Mandeville, qui fort du soutien de Sözé vainquis les sudistes avec le général Grant à Appomattox en avril 1865. 

Abraham Lincoln, appréhendait Sözé Ington, dont les hauts faits de guerre lui furent parvenus, et afin de se débarrasser de ce puissant mais néanmoins encombrant guerrier, c’est tout naturellement qu’il fit appel à Philippe de Marigny de Mandeville dont il savait que son pays dans la vieille Europe était en guerre avec les Prussiens.
Ainsi Sözé Ington se retrouva sur le vieux continent luttant avec acharnement contre l’ennemi germanique, Philippe de Marigny, s’en était reparti vers l'Ouest dans sa plantation.
Et tout comme Jeanne la pucelle, quatre siècles plutôt, Sözé fus trahie par les siens et offert à l’ennemi en compensation de dette de guerre.
Les Allemands, peuple fier et guerrier reconnurent en Sözé, Immense Bravoure et Courage, leur chef Guillaume 2 lui attribua le surnom de « Kaiser », ainsi, Ington Sözé devint Keyser Sözé.  
Mais hélas, redoutable était Sözé le Fléau, il fut ainsi mis au plus profond dans l’un des sombres cachots d’un prieuré oublié d’Alsace, dont quatre moines luthérien se donnèrent la mort après avoir emmuré la porte. (Espérant ainsi être sauvé de la colère de l’Enfer). Le plus grand secret ne se transmis que sur le lit de mort par l’ancien au nouveau Prieur. 
Une centaine d’années et deux guerres mondiales passèrent, Sözé croupissant toujours dans son cachot emmuré ... quand une révélation lui fit faite.
Durant son emprisonnement, une hydre du nom de ... PSF avait sournoisement conquis le monde et Sözé attendait.

L’heure était venu, Sözé tonna donc par six fois dans le fond de son profond cachot, les villageois des communes environnantes coururent se réfugiés en plein air craignant un puissant tremblement de terre.

Moults prières et supplique au tout puissant créateur furent faites au prieuré, mais le Prieur sut, que le moment de libérer Sözé était venu.
Le Prieur armé d’une pioche et suivit de centaines de sacristains psalmodiant prières sur prières suintant leurs peurs à grosse gouttes, accompagné par l’élu, le cachot fut ouvert, ...
Debout devant l’ouverture se tenait l’élu et c’est tout naturellement que Sözé se lova dans sa main.
Il se raconte, à basse voix tremblante, que les quelques mots dit par Keyser Sözé sont parait il « je t’attendais Snub 36 ».
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